+ just like a baby, spin me around like a child.

marie thorne

‶shine bright like a diamond″
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~ Nom : Thorne, un nom que la jeune femme a toujours porté avec une certaine fierté. Le nom de son père qu'elle a toujours adoré. ~ Prénom : C'est son père qui a choisi son prénom. En raison des convictions religieuses de la famille Thorne, elle a ainsi été appelée Marie. Mais, parfois, ses amies aiment contracter son prénom en May. ~ Âge : Marie est maintenant âgée de trente-deux ans ; si le cap de la trentaine a été plutôt mal accepté, elle a fini par s'y habituer. ~ Traits de caractère : lunatique, amusante, moqueuse, peste, attentionnée envers ses amis, fidèle, têtue, impulsive, souriante, impliquée, généreuse, courageuse, décidée. ~ Profession : aider les autres, l'ouverture a toujours été une vertu enseignée par ses deux parents ; c'est donc naturellement que Marie est devenue assistante sociale. ~ Situation amoureuse : récemment divorcée d'un homme qu'elle n'aimait plus depuis des mois, Marie est actuellement célibataire. ~ Orientation sexuelle : même si, adolescente, elle a testé une expérience avec une fille de son lycée, Marie est clairement hétérosexuelle. ~ Signe astrologique : capricorne. ~ Situation financière : si sa situation financière ne peut pas être qualifiée d'aisée, on dira que Marie se place dans une moyenne acceptable, et qu'elle n'a jamais souffert du manque de quoi que ce soit. ~ J'aime : le soleil, le piano, les enfants, sa petite fille nommée Abigail, les animaux -surtout les chats-, les grands espaces, l'aventure, prendre des risques, venir en aide aux autres, colporter des ragots tant qu'ils sont innocents, la cuisine chinoise. ~ J'aime pas : la pluie, les personnes violentes, les mensonges, les personnes trop niaises, les films d'horreur, les réunions des "anciens du lycée", l'inactivité. ~ Groupe : sad beautiful tragic.

j'ai un serpent dans ma botte
+ DEPUIS QUAND VIS TU À BARTONVILLE ? Marie a toujours vécu à Bartonville ; une ville qui a vu naître des générations de Thorne, une ville qu'elle connait par cœur. Cependant, elle l'a quittée pendant quelques années, pour aller s'installer à San Francisco avec l'homme qu'elle a épousé il y a cinq ans. Le fait de revenir est vraiment une bénédiction pour Marie qui retrouve aussi bien sa famille que ses attaches. Cette ville représente énormément de choses pour elle.. + COMMENT TU LA TROUVES ? Si elle devait décrire Bartonville en un seul mot, elle choisirait sûrement le terme de « refuge ». Marie est énormément attaché à cette ville qui l'a vue naître, et maintenant qu'elle sait que la quitté ne lui a apporté que des mauvaises choses, elle ne semble plus souhaiter la quitter. Bartonville est comme une bouée de secours pour la jeune femme, et il n'y a pas de plus bel endroit au monde aux yeux de Marie.. + ET LES HABITANTS ILS SONT COMMENT ? Bien entendu, tout le monde ne peut pas plaire à Marie, et même si elle ne porte pas dans son cœur certains habitants, en tant qu'assistante sociale et fille du pasteur Thorne, elle s'est lié d'amitié avec bon nombre d'habitants, qui le lui rendent bien.. + TA PLAYLIST ? Marie marche par coup de cœur, et ses playlist changent trop régulièrement pour être notées. Elle peut faire un grand écart de goûts musicaux, pendant un mois n'écouter que de la country, et passer à du rnb le mois suivant.. + QUELLE EST TA FÊTE FAVORITE DE LA VILLE ? La fête favorite de Marie est sans aucun doute celle de la nuit étoilée, au mois de septembre. Dès petite, elle s'émerveillait devant l'immensité étoilée, et cet instant de rassemblement avec ses amis autour d'un feu, bien installés dans un champ. Sa préférence n'a pas changé, même si elle adore également la kermesse.. + QUELLES SONT TES PRIORITES ? la priorité de Marie est sans aucun doute sa petite fille Abigail, retrouver quelqu'un qui puisse lui apporter une figure paternelle. Elle veut le bonheur de sa fille, et son bonheur est lié à celui de Abi. . + DES TICS, MANIES, PHOBIES OU PÊCHES MIGNONS ? Marie ne peut pas s'empêcher de mâchouiller les pointes de ses stylos quand elle travaille. Sans cela, elle n'arrive tout simplement pas à se concentrer + la jeune femme porte souvent des lunettes pour lire et regarder les écrans d'ordinateur ou de télévision. Sinon, elle porte des lentilles quand elle sort ; elle a toujours trouvé que les lunettes lui donnait un air de bibliothécaire coincée + Marie est une femme qui ne vit pas à moitié, c'est une bonne vivante qui ne s'est jamais refusé le moindre plaisir. Quand elle était jeune, elle a testé toutes sortes d'expériences sans jamais dépasser les limites du raisonnable + c'est une femme très proche de ses parents, et plus particulièrement de son père. Elle essaye également d'endosser le rôle de la grande sœur en veillant sur ses cadets. Cependant, elle a toujours eu un côté peste, et s'amuse à les taquiner + la jeune femme a trouvé une petite maison à Bartonville, en plein centre ville, qu'elle habite maintenant avec sa petite fille de quatre ans. Elle a également adopté un chat angora du nom de Lucky + Marie s'est inscrite sur un site de rencontre ; après son aventure catastrophique, son mariage raté, elle espère pouvoir repartir sur de bonnes bases et trouver quelqu'un qu'elle aimera réellement, et qui le lui rendra bien. + c'est une grande sportive, et dès le matin elle s'accorde une heure de jogging avant d'aller travailler + Marie n'est pas vraiment une bonne cuisinière mais se débrouille. Au moins, elle sait parfaitement réussir les tartes à la myrtille, c'est un exploit..

~ Prénom/Pseudo : reichenbach, anna. ~ Âge : vingt ans. ~ Avatar : katie cassidy. ~ Un petit mot pour le forum : superbe I love you

. ~ Où as-tu connu SIMB : bazzart.

quelqu'un a empoisonné le point d'eau

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Elle posa la lanière de son sac de voyage sur son épaule, attrapant la main d'Abigail dans la sienne, prête à quitter cet appartement qu'elle détailla d'un regard circulaire. Les souvenirs lui revenaient alors en mémoire ; chaque parcelle de chaque pièce lui rappelait quelque chose ; des bribes aussi agréables que terribles. Un léger sourire se dessina sur ses lèvres quand elle aperçu le cadre photo posé sur un étage de la bibliothèque. Il la représentait elle, entourée du bras musclé de Scott. La photo était franchement laide, tous les deux avaient les cheveux en bataille, portaient des t-shirt froissés, mais ils souriaient ; oui, ils souriaient comme s'ils vivaient le plus beau jour de leur vie. Cette photo avait été prise le jour où ils s'étaient installés ici, à San Francisco, dans cet appartement. Elle se souvenait des crises de fou rire pendant le déménagement, du petit dîner que son mari avait organisé le soir même ; un pique nique en plein milieu de ce qui deviendrait quelques jours plus tard leur salon. Marie ferma les yeux, emplissant ses poumons d'une grande bouffée d'air pour retrouver le courage qui semblait l'abandonner devant la vision de tous ces bons moments passés avec son mari. Sur la table de la cuisine, ce matin, elle avait placé les papiers du divorce, prête à définitivement tourner la page. Il ne manquait plus que la signature de Scott en bas de page et l'un comme l'autre n'auraient plus jamais à se revoir. Tout cela n'était qu'une suite de conséquences désastreuses, ayant abouti à leur séparation, et à la décision sans appel du juge : Marie aurait la garde exclusive de leur petite fille, Abigail. Elle retournait vivre à Bartonville, près de ses proches, près de ses amis et de sa famille. La porte d'entrée claqua, la tirant de ses rêveries. Scott se tenait maintenant face à elle, la mâchoire crispée. « Qu'est ce que tu fais ? » lui demanda-t-il d'un ton brusque en désignant d'un geste de la main le sac qu'elle portait sur l'épaule. En exerçant une petite pression sur la main de sa fille, Marie témoignait de son envie de la protéger de l'homme qui leur faisait face. S'accroupissant à ses côtés, elle déposa un baiser sur son front, perdu sous une frange de cheveux blonds. « Va attendre dans ta chambre ma puce. » Elle se redressa ensuite, faisant face à celui qu'elle avait pensé être l'homme de sa vie. Lui qui semblait si gentil, si attentionné. Elle s'était bien trompé sur son compte. Militaire de carrière, son retour d'Irak l'avait métamorphosé, avait exacerbé son côté lunatique. Scott était souvent pris de crises de jalousie, de crises de colère, et Marie s'était mise à avoir peur de lui. Peur de son propre mari et de sa violence. « Je m'en vais Scott, je rentre à Bartonville. » L'homme laissa quelques secondes de battement avant de réagir, se mettant tout de suite à crier. « Tu ne partiras nul part Marie. » Marie ravala les larmes qui lui montaient aux yeux, ne détournant pas le regard. « Cette situation a assez duré Scott, je ne suis pas heureuse. Tu me fais peur, tu fais peur à notre fille. S'il te reste encore un peu d'amour pour nous, tu me laisseras passer. » Et c'est sur ces quelques mots que se termina leur dernière conversation.

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Mâchouillant la pointe de son stylo, Marie contourna rapidement son bureau pour vérifier le couloir. Personne ne semblait être présent dans les locaux pour le moment, tous rentrés chez eux dès que l'horloge avait annoncé dix-sept heures. Avec un léger sourire, elle retourna s'asseoir dans son fauteuil, dérouillant la session de son ordinateur portable. Maintenant six mois qu'elle était revenue s'installer à Bartonville, et déjà, elle se sentait revivre. Abigail, sa petite fille était des plus heureuses ; la petite blonde tenait son caractère des Thorne, elle était ouverte, sociable, et amusante. Contrairement aux craintes de sa mère, elle s'était rapidement intégré dans sa nouvelle école, s'était fait plusieurs nouveaux amis. Tout semblait aller pour le mieux dans la nouvelle vie de la jeune Thorne. Ses parents, ses frères et sœurs avaient tous été ravi de la retrouver parmi eux, et tous respectait son choix de ne pas vouloir ressasser le passé, ne pas trop leur parler de son histoire avec Scott. Elle repartait maintenant sur de bonnes bases. Un son mécanique attira son attention quand elle fut connecté à internet, le son d'un nouveau message. Marie se mordilla légèrement la lèvre inférieure en ouvrant le message. Il venait de cet homme, Andrew, avec qui elle échangeait régulièrement sur son site de rencontre. Même si au départ, son orgueil lui avait interdit de passer trop de temps sur ce site, Marie avait tout de suite accroché avec ce jeune homme dont elle ne connaissait le visage que par sa seule photo de profil. Hello May, je n'ai pas pu venir sur internet cette semaine, à cause d'un séminaire organisé à New York. Mon patron va finir par m'étouffer vu tout le travail qu'il me colle. J'espère que tout va bien pour toi. Andrew. Marie sentit le rose lui monter aux joues. Elle ne connaissait presque rien de lui, mais rien qu'un message de sa part suffisait à la faire rire, sourire, comme une adolescente. Ses doigts s'actionnèrent alors seuls, comme par automatisme, et elle eu à peine le temps de réaliser le contenu de sa réponse en l'envoyant. Hello Andy, est ce que tu voudrais que l'on se voit, pour prendre un verre. Seulement si tu ne t'es pas tué à la tâche avant. Marie. Est ce que c'était une bonne idée de le voir enfin ? Elle n'en savait trop rien. Le son mécanique retentit de nouveau. Avec plaisir. Mardi, au Barckley Coffee Shop !