Ryan › 'cause you burn with the brightest flame

Ryan Baldwin

‶work hard, play hard″
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~ Nom : Baldwin. ~ Prénom : Ryan. ~ Âge : 30 ans. ~ Traits de caractère : Protecteur, altruiste, défensif, rustre, possessif, bagarreur, provocateur, rancunier, . ~ Profession : Shérif, boxer. ~ Situation amoureuse : En couple. ~ Orientation sexuelle : hétérosexuelle. ~ Signe astrologique : Lion. ~ Situation financière : aisée. ~ J'aime : la boxe, les bonnes bières, la mal-bouffe, les chevrolets, le levée du soleil, les shots de téquila, les tartes, le groupe ACDC, les bons lits moelleux, les tacos. ~ J'aime pas : danser, les citrons, l'odeur du béton mouillé, les femmes râleuses, les bébés qui pleurent sans cesse.. ~ Groupe : State of grace.

j'ai un serpent dans ma botte
+ DEPUIS QUAND VIS TU À BARTONVILLE ? Depuis 9 ans, aujourd'hui. Je devais avoir 21 ans, fraîchement débarqué de New York. Un passé que j'ai toujours rêvé d'oublier, alors quoi de mieux que de recommencer à zéro. . + COMMENT TU LA TROUVES ? Découvrant par hasard Bartonville, je ne pensais pas rester à vrai dire. Je n'étais que de passages pour quelques jours, dans ma quête d'une nouvelle vie, et pourtant j'ai finis par m'attaché à cette ville. Calme, reposante, parfois sincère, parfois manipulatrice, souvent joviale, quelque fois mystérieuse ; comme chaque ville Bartonville a sa propre particularité, mais moi je la trouve à mon goût.. + ET LES HABITANTS ILS SONT COMMENT ? Ce sont des gens normaux. Pour avoir connu les habitants d'une grande ville, je peux vous dire que j'en ai vu des habitants bizarres, agréables ou complètement loufoques. Mais j'ai appris à vivre avec. Les gens restent supportables, et c'est l'important je crois. Je ne choisis pas ma maison pour les gens avec qui je partage la ville, je la choisis parce que je m'y sens comme chez moi.. + TA PLAYLIST ? Du vrai rock : Acdc, Queen, Prince, The rolling stone, the beatles, et j'en passe ! Des vrais classiques, mais ce sont ces morceaux que je préfère. A mettre à fond dans la caisse, à chanter sous la douche, qu'importe les occasions. En revanche, tout ce qui est commercial de nos jours, j'ai un peu de mal. Mais où sont les véritables artistes ? C'est légendes qui font la fierté du business musicale ? . + QUELLE EST TA FÊTE FAVORITE DE LA VILLE ? Sans hésiter, celle de Février : Les cow-boys aux enchères. De un, les hommes se font vendre, les femmes sont reines, et tous les fonds récoltés vont à notre ville. Je trouve ce concept toujours très intéressant, et c'est toujours un plaisir de se vendre pour une bonne action. Parfois, je tombe sur une fille chouette, parfois non, mais on fait avec. De toute manière, avec moi, on ne s'ennuie jamais.. + QUELLES SONT TES PRIORITES ? Mon boulot. C'est devenu une addiction, une façon pour moi d'éviter de trop merder. J'ai tellement essayé de changer, de faire des efforts...alors aujourd'hui, quant on m'a promu shérif, c'est uniquement parce que les gens ont confiance en moi, compte sur moi. Alors, je me dois de leur retourner l'appareil. Certes, parfois, mon côté bad boy resurgit mais je tente encore de faire le bien, et ça ça passe avant tout le monde. Le reste, je fis simplement ma vie, aussi compliquée soit-elle.. + DES TICS, MANIES, PHOBIES OU PÊCHES MIGNONS ? Je boxe dès que j'ai besoin de décompresser, même si c'est sur un pushing ball. Je tiens à ma Chevrolet comme si c'était un bébé qui doit avoir toute l'attention disponible. Je roule des yeux lorsque ça m'exaspère. J'ai tendance à faire des mauvaises blagues ou à tenter d'être drôle. J'ai l'habitude de jouer le rôle du chevalier servant des habitants, celui qui vient toujours les secourir à n'importe quelle heure. Ca peut paraître faible et surtout pathétique, mais alors que j'aime bien monter à cheval, j'ai une phobie des vaches. Je n'aime pas ça. .

quelqu'un a empoisonné le point d'eau

(+) right back home

And I took you by the hand, and we stood tall, and remembered our own land, what we lived for, and there will come a time, you'll see, with no more tears, and love will not break your heart, but dismiss your fears. Get over your hill and see what you find there, with grace in your heart and flowers in your hair.

« Merde Ryan, t’étais passé où ? » A peine la porte fermé, je l’entendais déjà râler. C’est pas grave, j’avais l’habitude. « Dehors » répondis-je d’une voix peu convaincante. Je n’avais pas la foi d’y mettre un peu plus de conviction pour faire profil bas. Je savais que j’avais encore merdé ce soir, et j’entendais déjà ses sermons. J’en étais déjà lassé. Avançant dans le petit appartement médiocre, nous vivions avec le peu de sous qu’on gagnait. C’était certes difficile, mais vital, alors nous faisions de notre mieux, du moins pendant cette période. J’aspirais à un meilleur avenir, à sortir de ce trou à rats et à m’envoler enfin pour une nouvelle vie, meilleure dans tous les sens. Mais pour le moment, je devais faire avec. « Tu t’es encore battu ? » Qu’est ce qu’il était perspicace, dis donc ! J’avais bien évidement le visage en sang, certainement un œil-au-beurre-noir, vu comment j’y voyais presque rien et j’étais épuisé. « Fallait bien gagner des sous » « Tu n’as pas à faire ça. » Je le regardais droit dans les yeux : « Si, j’aime ça. Et puis…avec quoi on aurait payé les courses cette semaine hein ? » Je n’arrivais pas à me faire embaucher, même si c’était un emploi merdique. Quant à lui, sa maladie nécessitait encore du repos. « Ryan… » « Noah. » C’était une façon pour nous d’en finir de cette conversation. C’était mon dernier mot. Allant sous la douche, j’enlevais toute cette crasse et ce sang qui s’était accumulé sur la plupart de mon corps avant d’aller me coucher sans manger, la fatigue triomphant.

« Alors Ryan, où est mon fric aujourd’hui ? » J’hésitais à sortir la liasse bien trop petite de ma poche. Je savais qu’il en manquait beaucoup, mais j’avais du en garder plus pour Noah. Pourtant, d’un air assuré, je lui remis l’argent. « Il me semble que ce n’était pas ce qui était convenu » « Je sais Gibbs. Mais j’ai eu un soucis. » « Tu veux dire ton frère. » Je ne répondis pas à cette affirmation. Tous deux savaient déjà que c’était la vérité. Ecoutes, j’en vendrai plus le mois prochain. « Tu as intérêt. » Il me menaçait c’était certain, mais il me faisait pas peur. Noah commençait à aller mieux, et une fois qu’il pourra se sentir vraiment en forme, on allait fuir tout ce merdier. Je n’avais pas trouvé d’autre plan, je cachais cette magouille de drogue à Noah simplement parce que j’avais peur qu’il soit déçu. Déçu que je ne puisse pas faire autrement, que je n’ai pas été capable de trouver une solution plus noble, déçu que je sois son propre frère.

« Noah dépêche toi bordel ! » Je le pressais. Ces hommes étaient à nos trousses, et nous étions simplement obligés de fuir cette maudite ville. « C’est bon, j’ai tout pris » me fit-il au loin. Ramassant mes derniers affaires personnelles, je sortis rapidement de ma chambre et retrouvais Noah qui m’attendait déjà devant la porte. « Allez grouille » Sortant rapidement de l’immeuble délavé, on prit place dans ma Chevrolet et fonça à tout allure vers une des autoroutes de la ville pour sortir de là. « Noah…je veux qu’à la prochaine ville, on se sépare. » « Pourquoi ça…Je vais bien. On va se trouver une autre ville et voilà. » « Non. Tu as encore ta rééducation à faire. Seul, tu y arriveras plus vite » « Tu veux rire…et les Baldwin, toujours ensemble. » « Rends pas la chose plus difficile. » « Ils nous retrouverons jamais » « Et ils auront moins de chance séparés. » Plus aucun mot ne sortit pendant plus d’une heure de trajet. Le déposant dans une ville à coté de New York, je finis par l’enlaçant rapidement. « Prends la moitié de l’argent et file. » « Un jour, promis frérot, on se retrouvera ». Je le regardais partir, le cœur en mille morceaux. La seul famille, la seule personne sur qui je pouvais comptait venait de disparaître. « Promis » murmurais-je avant de remonter dans la voiture et vagabonder vers de nouveaux horizons.

Droite, gauche, croché, kick. Je dominais largement le combat contre Mr Muscle de Bartonville. Je n’avais certainement pas perdu la main de mes nombreuses années de boxe. J’étais encore considéré comme un petit nouveau dans cette ville, même si ça faisait deux ans maintenant que j’y étais installé. Certains m’avaient accepté les bras ouverts, d’autres trouvaient mon côté bad boy insupportable, mais tant pis. Je trouvais que la petite ville de Bartonville était parfaite pour un renouveau, un changement de vie totale. Aux oubliettes l’ancienne vie, à moi une nouvelle identité. Bon d’accord, mon caractère merdique me suivait toujours, mais j’essayais toujours de mieux faire. Et aujourd’hui, j’entendais les applaudissements de la foule qui me félicitaient de ce fabuleux combat. Mon adversaire avait réussis à me foutre quelques beaux poings mais rien de grave, que de superficiel. Sortant du ring sous les acclamations de mes nouveaux fans, j’allais sous la tante des combattants pour aller me reposer et me faire soigner. Je tombais sur une magnifique femme. De ses cheveux brin, de ses yeux, de sous sourires…une déesse parmi ces mortels. « Magnifique combat » me dit-elle en souriant. Je jouais le modeste ; ce n’était qu’une routine pour moi : « Merci, mais il n’était pas si compliqué à battre. » « Pourtant, c’était Mr Muscle » « On peut avoir tous les muscles qu’on veut, si on n’a pas la technique, on peut finir pas s’en prendre plein la gueule ». On continua à discuter quelques instants à mon grand plaisir ; j’étais loin de m’imaginer que c’était le début d’une belles histoires.

« Et c’était qui cette blonde hein ? » « Oh arrêtes, elle avait rien d’exceptionnelle ! » « Tu veux rire, deux obus à la place des seins, tu m’étonnes que tu vas la consoler » Je soupirais. La jalousie de Livia commençait à m’exaspérer. « En parlant de consolation, t’aurais du me défendre devant tes parents. » « C’était la vérité ! Du bosse de trop, il te trouve pas assez bien pour moi, et je commence à me dire qu’ils ont peut être raison. Tu crois que je devrais leur parler de ton énième pot de vin, alors que tu es maintenant le shérif de la ville ? Hein, tu crois que c’est assez noble ça ? Que tu es assez bien pour moi ? » « Rah, tu m’énerves. » Elle n’y comprenait rien. D’accord, je merdais. Et cela très souvent, mais j’essayais de faire de mon mieux, et si elle ne le voyait pas, c’était son problème. Claquant la porte de la maison, je partis faire un tour pour contrôler la ville. Je n’avais pas mieux à faire maintenant, et cela me détendait grandement. J’avais besoin d’elle, je l’aimais de tout mon cœur et pour elle, je déplacerai une montagne, mais ses accusations à répétitions, ses engueulades quotidiennes commençaient à avoir raison de moi. Peut être avait-elle raison ? Peut être que je n’étais pas prêt pour elle, pas assez loin pour elle ? En réalité, je ne l’avais jamais été. Comme avec mon frère. Quel idiot j’étais. Je répétais les mêmes erreurs, sans savoir comment me sortir de là.

« Salut toi » fis-je en la faisant sursauter. Elle se mit à rire avant de m’embrasser chaleureusement. « Tu m’as manqué » « Ah oui…pourtant, je pensais que ce matin ça t’avais suffit pour la journée » Souriant d’une façon coquine, elle passa ses mains sur mon torse : « Arrêtes, je pourrais facilement en redemander. » « Je sais coquine. » Avançant tranquillement dans la rue, main dans la main, j’étais bien avec elle, et ce depuis notre rencontre. Le sauvetage d’une demoiselle en détresse qui avait malheureusement trop bu. Et heureusement pour moi, cette belle demoiselle avait fait mon bonheur pendant plus de trois mois maintenant. Notre relation était sans prise de tête, simple, d’un bien énorme. C’était pile ce qu’il me fallait. Dans notre petite promenade, mon regard de posa rapidement sur Livia. Bon sang…elle devenait de plus en plus belle, de plus en plus épanouie, et avec cet imbécile de Jim. J’étais jaloux, ça en crevait les yeux et je faisais tout pour dissimuler ça à Esha. « Tu l’aimes toujours hein ? » me fis-elle, du tac au tac. Je me stoppai net, incapable de répondre à cette question. Elle la regarda puis revint sur moi : « Je te comprends, elle a tout pour plaire. » « Esha..je » « Non ne dis rien…J’ai tout compris depuis quelques semaines maintenant. » « Je suis bien avec toi. Livia…c’est du passé. » Elle se blottit contre moi et je ne pus que la laisser faire. « Passé ou pas, tu l’aimes et un jour, je suis persuadée qu’elle te reviendra. J’ai pas envie que nous deux on s’arrête là, je suis bien avec toi. Toi aussi. Alors continuons, jusqu’à ce qu’on soit attrapé ailleurs » Je réfléchis quelques secondes et puis lui déposa un baiser sur le front. « Ca me va » Qu’est ce que j’avais fais pour trouver une fille aussi merveilleuse qu’elle ? Une fille parfaite et pourtant dont je n’étais pas amoureux.

~ Prénom/Pseudo : exotic. ~ Âge : 21 ans. ~ Avatar : Jensen Ackles. ~ Un petit mot pour le forum : fucking awesome Ryan › 'cause you burn with the brightest flame 4026102141