Letha ◘ To build a home

Dispo ! Mais absente du s.27/07 au l.05/08 ou m.06/08/13

Letha Valentine

‶Every reason i have left to live.″
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~ Nom : Valentine. ~ Prénom : Letha. ~ Âge : 27 ans. ~ Traits de caractère : Rebelle, indépendante, tactile, colérique, jalouse, possessive, joueuse, mutine, douce, intelligente, bosseuse, fragile, garce, passionnée, rancunière, sociable, secrète, curieuse, déterminée, minutieuse, désordonnée, impatiente, séductrice, coquette, volontaire, espiègle, ... ~ Profession : Infirmière. ~ Situation amoureuse : Célibataire. ~ Orientation sexuelle : Bisexuelle, avec une préférence pour les hommes quand même. ~ Signe astrologique : Scorpion. ~ Situation financière : Héritière, donc riche. ~ J'aime : Chanter sous la douche, jouer du piano, raccrocher au nez de mon père, me demander pourquoi les hommes des films n'existent pas en vrai, manger chinois, faire de la musique, manger un bel hamburger fait maison (parce que c'est pas compliqué à faire et que c'est bon), m'amuser et faire la fête jusqu'à pas d'heure, sortir sous la pluie, écouter de la musique, ... ~ J'aime pas : Qu'on prenne les décisions à ma place, les médecins arrogants qui se prennent pas pour de la merde, faire la cuisine... enfin disons que c'est la cuisine qui ne m'aime pas vraiment dès que je me lance dans le compliqué, les menteurs, l'infidélité, ... ~ Groupe : THE LAST TIME.

j'ai un serpent dans ma botte
+ DEPUIS QUAND VIS TU À BARTONVILLE ? Cela va faire quatre ans maintenant et je ne suis pas prête d'en partir. J'aime cette ville, les personnes qui y habitent et la distance, sans être non plus à des milliers de kilomètres, de ma famille. C'était un adieu sans être un adieu à ma vie d'avant.. + COMMENT TU LA TROUVES ? J'aime cette ville, sinon je ne m'y serais jamais installée. C'est un peu le compromis entre ma Vegas natale et un autre morceau des USA. C'est plus petit, mais en même temps, c'est différent, et j'aime cette manière plus posée de vivre par moment.. + ET LES HABITANTS ILS SONT COMMENT ? Plutôt sympathiques dans l'ensemble. Bien sûr, on ne peut pas s'entendre avec tout le monde, mais ça c'est normal, mais si j'aime travailler et vivre dans cette ville, c'est bien parce que les personnes qui y habitent ont un petit quelque chose qui a su m'y retenir.. + TA PLAYLIST ? Florence & The Machine, Maroon 5, Taylor Swift, l'un des derniers titres de Selena Gomez, Brice Conrad, Snow Patrol, Imagine Dragons, 30 STM, Paramore, Flo Rida, Passenger, Kelly Clarkson, Sean Paul, ... Tout ce qui passe à la radio et qui me plaît fini dans mon ipod en fait.. + QUELLE EST TA FÊTE FAVORITE DE LA VILLE ? Les Cow-Boys aux enchères ! J'ai découvert cette fête à mon arrivée en ville et j'ai adoré le concept. Je ne prends jamais vraiment un garçon qui me plaît, mais un type que j'apprécie et qui n'aura pas vraiment de chance d'être acheté. Mon but n'est pas de conclure à la fin de la soirée, mais de m'amuser et de passer un bon moment. Je ne cherche pas l'âme sœur pour autant. . + QUELLES SONT TES PRIORITÉS ? Ma famille, même si cela ne se voit pas vraiment. Mais ce n'est pas parce que je partage pas l'avis de mon père que je ne l'aime pas. Je tiens énormément à lui, un peu moins à son ambition et à ses valeurs. Je n'hésiterais pas à quitter la ville si on avait VRAIMENT besoin de moi. Après vient mon travail que j'aime et dans lequel j'aime m'impliquer pour adoucir la douleur de mes patients. Et pour finir et sûrement pas le moins important, profiter de la vie. Je n'ai pas envie de finir veille et d'avoir l'impression d'avoir gâché ma vie. Je l'ai compris quand j'ai découvert que mon ex me trompait. + DES TICS, MANIES, PHOBIES OU PÊCHES MIGNONS ? Je me mordille les lèvres lorsque je suis stressée. Je joue avec une mèche de mes cheveux lorsque je réfléchis. Assez désordonnée, je peux pourtant passer des heures dans la salle de bain pour une mèche qui ne prend pas la forme que je voudrais, alors que ma chambre est en bordel. J'aime m'amuser et si l'on m'invite à une fête, je ne dirai pas non. Je chante toujours sous la douche, ou alors je fredonne. Lorsque je déprime, un pot de nutella et ça repart ! A la petite cuillère, attention, mais pas en entier, n'abusons pas. Bon c'est une vraie cochonnerie, mais j'ai pris une décision : ne jamais penser à ce qu'il y a dedans. Je fredonne lorsque j'ai des écouteurs sur les oreilles. Je suis comme une petite fille dans un magasin de vêtements ou de chaussures. Heureusement que la famille ne m'a pas coupé les vivres. Sinon j'ai peur du noir... ou plutôt de ce qui pourrait se cacher dans le noir. S'il y a un bruit dehors en pleine nuit, ne comptez pas sur moi pour aller voir ce que c'est. Je préférerais me cacher sous mes draps plutôt que d'affronter les monstres. A Las Vegas je n'avais pas vraiment ce problème étant donné qu'il y avait toujours de la lumière. Le noir total, à part dans une pièce hermétiquement fermée, ça n'existait pas. J'ai eu beaucoup de mal à dormir sans lumière lorsque je suis arrivée ici, même lointaine.

quelqu'un a empoisonné le point d'eau
« Tu veux TRAVAILLER ? » hurla mon père. Oui, je voulais travailler, et quand tous les autres pères seraient heureux de voir leur progéniture vouloir faire des études pour devenir indépendant, non, mon cher paternel lui ne comprenait pas pourquoi je voulais travailler. Enfin, surtout en dehors de la famille. « Oui. » exhalais-je sous un léger soupir plus agacée que navrée, et cela ne manqua pas d’être remarqué, bien sûr. « Et pourquoi Infirmière ? Il y a plein d’autres métiers ! » Oui, mais c’était l’un des plus rapides et des plus faciles à obtenir, mais ça bien sûr, ce n’était pas une raison qui lui conviendrait. Mais mes autres motivations ne seraient pas assez bonnes à son goût, sauf que je désirais réellement m’éloigner de tout ça. « Je n’ai pas envie de travailler dans les affaires et c’est un beau métier ! » « Ingrat tu veux dire ! » « Si tu le dis. De toute façon, cela ne changera rien à ma décision. » « Letha ! » gronda-t-il. « Grand-père a déjà accepté de me payer mes études. » répliquais-je en croisant les bras sous ma… toute petite poitrine. La nature ne m’avait pas donné les attributs pour prétendre être une fille de Las Vegas, et pourtant… c’était bien ce que j’étais. Et pas n’importe laquelle, celle de Charles Valentine, propriétaire, entre autre, d’un grand casino, et il aurait bien sûr été bien vu que je décide de travailler là-dedans, ou avec mon grand-père, ou… Peu importait, tant que cela restait en famille ou que j’acceptais de me marier avec un bon parti. Sauf que ce n’était absolument pas ce que je désirais faire. Je voulais exister par moi-même et faire ma propre vie.

Et c’était exactement ce que j’avais fait. J’avais suivi mes cours alors que mon père se faisait une raison, s’imaginant sûrement que c’était une lubie passagère, et puis j’avais rencontré un garçon dont j’étais tombée amoureuse. Un bon parti, alors il était plus qu’heureux de voir qu’entre nous cela devenait de plus en plus sérieux. Il ne critiquait pas le fait que j’avais décidé de travailler en tant qu’infirmière. C’était… l’homme parfait. Enfin c’était ce que je croyais, jusqu’à ce que je découvre qu’il ne m’était pas fidèle. Alors que nous étions fiancés… J’avais cru vomir en refermant discrètement la porte derrière moi. C’était une soirée chez ses parents et je l’avais cherché parce qu’il n’arrivait pas. Le souffle court, je m’étais laissée aller contre le mur, une larme roulant sur ma joue. Larme que j’ai chassée d’une main colérique avant de faire un détour par la salle de bain voisine pour retoucher mon maquillage et avoir l'air à peu près digne. Il était hors de question que j'ai l'air d'une fille ridicule que tout le monde prendrait en pitié, bien au contraire, je voulais que même dans l'adversité... J'étais une Valentine après tout. Aussi, lorsque j’étais revenue dans la salle de réception, j’avais pris une coupe de champagne que j’avais bu d’une traite sous le regard désapprobateur de mon père auquel j’avais levé mon verre vide sous un sourire forcé qui ne lui avait pas échappé. Quelque chose n’allait pas, mais il fallait faire bonne figure, surtout auprès de ma future famille, bien sûr.

Lui peut-être, moi sûrement pas. J’attendais le traître, le menteur, celui qui allait oser me prendre dans ses bras en me murmurant de doux mots d’amour à l’oreille. Depuis combien de temps allait-il voir ailleurs ? Depuis combien de temps me faisait-il croire que j’étais la seule, l’unique, alors qu’il en retrouvait une autre dès que l’occasion se présentait. Je scrutais donc la porte par laquelle j’étais passée, tandis que je remplaçais ma coupe vide par une pleine. Ce fut à cette seconde que la silhouette que j’avais entraperçue passa l’encadrement, réajustant son tablier comme si de rien était, cherchant de toute évidence à passer entre les gouttes et que personne ne remarque ce qu’il s’était passé un peu plus tôt. Je fis rouler une larme de champagne au fond de ma gorge, alors que je me détournais, esquissant quelques pas dans la salle, saluant distraitement quelques personnes. Je battais presque le tempo de l’impatience à chacun de mes pas, sûrement que les plus attentifs l’avaient déjà remarqué, qu’ils se demandaient ce que je pouvais bien attendre.

Puis il était arrivé derrière moi, comme j’avais pu me le repasser mille fois dans la tête avant même qu’il le fasse, ses lèvres s’égarant sur ma gorge tandis que mes doigts se contractaient légèrement sur la pauvre flûte que je tenais. « Tu m’as manqué… » soupira-t-il à même ma peau, alors que je brûlais d’envie de le repousser. « Tu sens le parfum ? » fis-je simplement remarquer en retour. « Oh ça ? C’est le parfum de ma cousine, tu sais, Julia. » me répondit-il l’air de rien, en me montrant du menton une jolie fille dans une robe verte qui nous adressa un grand sourire en retour. Je la connaissais effectivement, mais je savais la vérité. Combien de fois m’avait-il servi ce genre d’excuse ? Me retournant pour le regarder, je vis ses cheveux légèrement en désordre et y passai les doigts pour les remettre en forme, d’un geste presque trop tendre pour l’enfoiré qu’il était. Si je n’avais pas vu ce que je venais de voir de mes propres yeux, je lui donnerais le bon dieu sans confession. Mais je l’avais vu et ses mensonges me paraissaient encore plus odieux. On devait se marier… On aurait dû se marier… On… « Elle sent le sexe aussi ta cousine ? » demandais-je d’une voix qui n’avait rien de discrète, paraissant parfaitement maîtresse de moi-même, d’un calme qui dissimulait ma colère et ma rancœur. Mais je ne voulais pas me ridiculiser, je voulais que ce soit lui qui ait l’air d’un idiot. Aussi, le regardant toujours je bus une gorgée de champagne. Les personnes les plus proches de nous s’étaient arrêtées de parler et nous regardaient attentivement. « Qu’est-ce que tu racontes ? » fit-il innocemment. « Ta cousine sait-elle qu’elle te sert d’alibi ? Pour que tu puisses t’amuser avec… » Je cherchais des yeux la fille que j’avais vu finir de se rendre présentable en entrant dans la pièce, tandis qu’il s’approchait, me murmurant à l’oreille. « Je ne crois pas que ce soit le l… » « … ta petite serveuse là-bas. Et je crois que c’est exactement l’endroit ! » « Tu te rends ridicule. » persiffla-t-il encore. « Vraiment ? Mais je remercie le hasard de m’avoir ouvert les yeux sur le bel enfoiré que je m’apprêtais à épouser ! La fidélité, c’est surfait, n’est-ce pas mon amour ? » ajoutais-je en esquissant un léger sourire tandis que je vidais ma coupe sur ses bijoux de famille. Le laissant reculer sous l’effet de la fraîcheur, les bras levés, alors qu’il s’exclamait. « T’es devenue folle ou quoi ! » « Au contraire. Plus lucide ! Tu permets, je garde la bague pour... dommage moral. C'est ça que tu avais conseillé à ton client je crois. » Puis j’avais bifurqué pour prendre la direction de la sortie dignement. Première chose à faire une fois sortie d’ici, offrir la bague à un sans abris juste pour lui faire des pieds et… Il m’avait emboîté le pas, mais je sentis plus que je ne le vis son père s’interposer, avant de l’entendre gronder : « Tu en as assez fait pour ce soir. » Et j’étais entièrement d’accord avec lui. « Pas en public. » Ces paroles me firent sourire. C'était bien Vegas et ses apparences. Mais c'était partout pareil, et pourtant...

Une fois les projecteurs évanouis, la populace disparue, ce fut dans un taxi que j’ai fini en larmes sous les yeux intrigués du chauffeur qui n’arrêtait pas de me lancer des regards par le rétroviseur. Mais je n’étais pas en état de faire la conversation. Pas en état du tout lorsque je suis arrivée à mon appartement… que je partageais avec lui. C’était ça de croire en un garçon, forcément, il finissait par vous briser le cœur. Et… Mon portable sonna, me laissant voir le visage de ce salopard de première qui me regardait en souriant. Un doigt qui glissa sur la façade et... « Va te faire foutre ! » un autre qui glissait à nouveau pour mettre un terme à la communication. J’étais un tantinet moins arrogante et joueuse qu’à la réception. Voir même plus du tout et je le haïssais de toutes mes forces tandis que je fourrais mes affaires dans un sac, mon taxi m’attendant toujours au bas de l’immeuble. J’avais tout simplement fini la nuit à l’hôtel, continué à lui répondre… avant de finir par basculer tous ses coups de fil sur répondeur, puis de carrément couper mon portable. Il était un peu trop insistant, mais j’imaginais qu’il avait vu l’appartement, ses tiroirs et ses penderies vides. Enfin, pour ce que j’avais emporté.

Tant pis pour lui. Le lendemain je n’étais pas de meilleure humeur, mais je m’étais rendue à l’hôpital alors que je ne travaillais pas pour parler avec le responsable du service et lui demander une recommandation pour n’importe quelle autre ville. Ce fut à cet instant que j’ai entendu parler pour la première fois de Bartonville. Un de ses anciens amis d’université y travaillait et il recherchait justement deux infirmières. Ils en avaient parlé pas plus tard que le matin même. Un coup de chance… ou alors le destin était enfin de mon côté. Mais j’avais décidé de postuler et… j’ai été prise. Le Texas. Un autre monde ou l’extension du mien ?

Mais c’était pour moi un excellent compromis. J’avais besoin de m’éloigner de Vegas un moment sans être trop loin de ma famille non plus, même si je me serais bien volontiers passé de ma mère me disant que parfois les hommes avaient besoin d’aller assouvir leurs besoins ailleurs et que c’était mon rôle d’épouse… Heurk, quelle horreur ! J’étais déjà blonde, je n’allais pas par-dessus le comble être assez idiote pour lui donner ma bénédiction. Mon père ne cessait de me demander de rentrer… Mais j’avais pris ma décision et ils n’allaient pas m’empêcher de vivre ma vie comme je l’entendais. Une vie dont j’appréciais de plus en plus les charmes et où je guérissais de ma rupture avec l’autre idiot dont j’avais finalement conservé la bague. Il n’avait pas désespéré, il tentait de me joindre régulièrement, mais… je ne répondais pas, alors il a fini par ne plus appeler. Sauf à nos anniversaires, complètement bourré, je recevais un coup de fil que je laissais tomber sur le répondeur. Il avait l’air triste, désespéré, mais il me suffisait de lever les yeux sur la bague qu’il m’avait offerte pour me souvenir de toute la soirée en détails, comme dans un mauvais film. Alors autant dire que je m’étais juré de ne jamais devenir l’autre femme. Je savais ce que cela faisait d’être trompée, je connaissais la douleur de découvrir son petit ami avec une autre. Je ne voulais surtout pas le faire si je le savais comme la petite serveuse. Et ce même si je vivais ma vie comme si demain serait le dernier jour. Je voulais vivre… mais sans avoir honte de qui j’étais. Certes… je ne me vantais pas et n’allais sûrement pas hurler sur les toits que j’étais la fille d’un Valentine bien précis, mon monde s’en portait mille fois mieux sans, mais je n’étais pas non plus une sans le sous et cela se voyait à ma garde robe. Mais si je n'en parlais pas, c'était parce que j’aimais la simplicité de ma vie, sans prise de tête, sans chercher l’homme parfait qui n’existe pas, sans passer toute ma vie dans mon boulot. J’étais jeune encore et je voulais en profiter, m’amuser, passer de bonnes soirées sans forcément penser à demain. Et Bartonville était l’endroit parfait pour ça. L’endroit rêvé pour me construire un nouveau chez moi et y poser mes valises pour un long moment… quatre ans c’est déjà pas mal, mais insuffisant si vous voulez mon avis. Peut-être bien que j'avais vraiment envie d'y vivre et d'y faire ma vie. Un jour.

~ Prénom/Pseudo : Lessie. Mais Letha c'est bien aussi ! ~ Âge : 1000 ans, comme les originaux dans TVD XD. ~ Avatar : Dianna Agron. ~ Un petit mot pour le forum : Est-ce qu'on pourrait me réserver Dianna s'il vous plaît Letha ◘ To build a home 4026102141

Et... ça faisait longtemps qu'un forum ne m'avait pas donné envie de m'inscrire dessus ! Je vous aime rien que pour ça Letha ◘ To build a home 2640166636